Kaola Baird sur un ponton à Toronto. « Je dirais que quand on traverse une crise, … on oublie parfois qui on est », affirme Kaola. « Parce que je suis moi-même passée par là, je pense avoir une meilleure compréhension des choses. … J’ai beaucoup d’empathie. … … J’essaie de rendre ce que j’ai reçu et ce que je continue de recevoir. La boucle est bouclée, mais je pense toujours que la boucle s’agrandit. »