Moyen-Orient et Afrique du Nord : Mettre fin aux restrictions à la mobilité des femmes
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Des autorités libanaises corrompues et incompétentes ont plongé le pays dans l’une des pires crises économiques des temps modernes. Près de 80 pour cent de la population libanaise vit sous le seuil de pauvreté, et le gouvernement a retardé à plusieurs reprises les réformes et les plans de protection sociale promis. Les hôpitaux ont du mal à fournir des soins vitaux dans un contexte de crise économique, et les coupures d'électricité durent jusqu'à 22 heures par jour. Personne n’a été tenu pour responsable de l’explosion catastrophique survenue dans le port de Beyrouth le 4 août 2020. Les forces de sécurité ont parfois eu recours à une force excessive et meurtrière contre les manifestants. Les femmes continuent d’être confrontées à une discrimination et à des violences systématiques.
23 janvier 2024
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Le ciblage en ligne et ses conséquences hors ligne pour les personnes LGBT au Moyen-Orient et en Afrique du Nord
Les autorités ne devraient pas traduire en justice des civils devant des tribunaux militaires, et abandonner les accusations de terrorisme en l’absence de preuves
Les autorités s’opposent vigoureusement à la hausse des arrivées de migrants par voie maritime
Des restrictions croissantes contre les critiques ; les personnes LGBT et les réfugiés menacés
Cibler intentionnellement des civils est un crime de guerre
Des projets de lois répressives s’inscrivent dans un contexte de mesures illégales ciblant ces personnes
Le Brief du Jour du 18 juillet 2023
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Déclaration conjointe de plusieurs ONG dont Human Rights Watch
L’accès à une électricité fiable et abordable constitue un droit humain
Deux ans après cette tragédie, les survivants se tournent vers le Conseil des droits de l’homme