République centrafricaine : Un ministre inculpé pour atrocités
L’arrestation par la Cour pénale spéciale d’un ancien chef de groupe armé constitue une étape importante pour la justice du pays
![Hassan Bouba Ali (R) with Ali Darassa (C) surrounded by other UPC leaders, during a meeting at their headquarters in Alindao, October 2017.](/sites/default/files/styles/square/public/media_2021/11/202111africa_CAR_HassanBouba.jpg?h=199d8c1f&itok=8SwPH4FK)
L’arrestation par la Cour pénale spéciale d’un ancien chef de groupe armé constitue une étape importante pour la justice du pays
Il faut garantir l’accès humanitaire et protéger les personnes contre le risque de violences
Les revenus provenant des entreprises étrangères maintiennent les militaires au pouvoir
Les autorités devraient garantir la justice suite au meurtre par la police d’une écolière, qui a déclenché des manifestations
Les participants au Sommet des filles africaines devraient agir contre la discrimination envers les élèves enceintes, et la multiplication des cas de grossesse précoce
Les États membres devraient soutenir la CADHP et investir dans un programme de droits humains centré sur les personnes
Ces entreprises devraient aborder la question des risques liés aux droits humains, et presser le CIO d’adopter une politique relative à ces droits
Il faut autoriser d’urgence l’entrée de nourriture et de médicaments, et soutenir l’ouverture d’une enquête internationale
L'exécution de Nagaenthran Dharmalingam violerait le droit international, ainsi que les obligations de Singapour en vertu de certains traités
Des membres de la police sont soupçonnés et une enquête est nécessaire
Les dirigeants militaires devraient autoriser les manifestations pacifiques, respecter le droit à la participation politique, et libérer les personnes arbitrairement détenues
Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait exhorter les autorités à enquêter sur les abus commis par toutes les parties au conflit
Victimes de punitions collectives, les Hazaras et d’anciens fonctionnaires sont dépossédés de leurs terres
Cette décision constitue une attaque contre le mouvement des droits humains
Un an après l’attaque, le procès devant un tribunal militaire n’a pas abouti à la justice