Lors des élections en Inde à partir du 19 avril, ainsi qu’ailleurs dans le monde en 2024, les plateformes de réseaux sociaux devraient redoubler d’efforts pour empêcher les tentatives de désinformation nuisant au principe d’élections équitables et transparentes.

L’intelligence artificielle (IA) est déjà source de nombreuses fausses images sur les réseaux sociaux. Les plateformes devraient renforcer leurs efforts pour éviter la désinformation.

L’entreprise Meta a supprimé de nombreux contenus pro-palestiniens sur Facebook et Instagram, selon une enquête menée par HRW.

À partir du 1er février 2024, tous les propriétaires de véhicules en Ouganda devront obtenir de nouvelles plaques d'immatriculation intégrant des dispositifs de géolocalisation.

Le projet de loi de l’UE sur l’intelligence artificielle, surtout s’il est renforcé, sera un important outil dans la lutte contre le risque d’abus liés au recours croissant par les gouvernements à ces nouvelles technologies, par exemple en matière de surveillance.

Le projet « Inde numérique » (« Digital India ») vise à renforcer l’usage de technologies numériques, surtout dans le cadre de programmes gouvernementaux et de services publics. Mais le recours fréquent par les autorités au blocage d’Internet, sous prétexte de mieux maintenir l’ordre public, cause de graves préjudices aux populations touchées.

HRW a analysé une base de données utilisée par la police chinoise au Xinjiang, dont elle se sert dans le cadre de son programme de surveillance de masse, notamment par le bais d’applications qui examinent de manière intrusive les téléphones portables des habitants.

Les autorités iraniennes ont commencé à installer des caméras de sécurité sophistiquées dans les rues des grandes villes pour repérer les femmes qui ne portent pas le hijab.

L’application TikTok risque d’être interdite aux États-Unis : commentaire de HRW à ce sujet.

Lors des fermetures d'écoles dues au Covid-19, de nombreux gouvernements ont approuvé l'utilisation de technologies éducatives (« EdTech ») pour l’apprentissage en ligne. Mais de nombreux produits EdTech contenaient des traqueurs pouvant collecter des données personnelles sur les enfants sans leur consentement, ou celui de leurs familles.