Ces attaques ont tué au moins trois personnes et ont blessé d'autres civils. Elles sont susceptibles de constituer des crimes de guerre.

Au 1er mars, plus de 600 000 personnes avaient déjà fui la guerre en Ukraine.

À l’occasion du 3ème anniversaire du lancement du mouvement pro-démocratie « Hirak » en Algérie, HRW appelle à la remise en liberté de nombreux activistes détenus sur la base d’accusations douteuses.

4 civils tués, 10 blessés

Alors que le président russe Vladimir Poutine a ordonné une attaque de grande ampleur contre l’Ukraine, HRW publie un document « questions-réponses » sur les lois de la guerre, la nécessité de protéger les civils et les actes constitutifs de crimes de guerre.

Dans divers pays du monde, les personnes âgées sont particulièrement vulnérables et exposées au risque de graves abus dans les zones de conflit.

Le gouvernement vietnamien restreint systématiquement le droit à la liberté de circulation des activistes et des défenseurs des droits humains.

De nombreux Camerounais qui avaient demandé l’asile aux États-Unis, mais qui ont été renvoyés vers leur pays entre 2019 et 2021 après le refus de leurs demandes, ont subi de graves abus à leur retour, et lors de leur détention aux États-Unis.

Les autorités de la République démocratique du Congo n’ont pas mené d’enquête approfondie sur le meurtre d’au moins 66 autochtones Iyeke dans le secteur de Bianga du territoire de Monkoto, en février 2021.