Moyen-Orient et Afrique du Nord : Mettre fin aux restrictions à la mobilité des femmes
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Les autorités algériennes continuent d’arrêter et d’emprisonner des activistes pacifiques, des défenseurs des droits humains et des journalistes en raison de leurs opinions critiques. Certains sont poursuivis sur la base d’accusations liées au terrorisme, et fondées sur une définition très large de ce terme. En mai 2021, les autorités ont abusivement qualifié deux groupes d’opposition politique, le Mouvement Rachad et le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK), d’« organisations terroristes ». La répression des partis d’opposition, des organisations indépendantes de la société civile et des médias liés au mouvement de protestation pro-réforme « Hirak » s’est intensifiée depuis l’élection du président Abdelmadjid Tebboune en 2019. Entre juin 2022 et avril 2023, les autorités ont dissous deux organisations importantes, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH) et le Rassemblement actions jeunesse (RAJ), ainsi que deux organes de presse, Radio M et Maghreb Emergent.
27 février 2024
18 septembre 2023
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Plus de 170 manifestants risquent des peines de prison
Des dirigeants du mouvement pro-démocratie ont été arrêtés avant la tenue de l’élection présidentielle dans des circonstances controversées
Arrestations et barrages entravent la tenue de marches pacifiques
Le Brief du Jour du 18 juillet 2023
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Ses proches, un journaliste et un chercheur ont été emprisonnés, vraisemblablement en représailles
En matière de répression, la boucle est bouclée
La dissolution de la LADDH, un nouveau coup porté à la société civile indépendante
Communiqué conjoint publié à l’issue de la conférence de Tunis organisée par EuroMed Rights et Danner
Slimane Bouhafs est détenu notamment pour « offense à l’islam » et « terrorisme »
Les efforts visant à briser le mouvement protestataire national touche aussi les Algériens à l’étranger
La campagne digitale #PasUnCrime a été lancée par 38 organisations dont Human Rights Watch
Les autorités devraient permettre aux personnes ainsi bloquées de rentrer au Canada