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Les autorités algériennes ont continué d’écraser la dissidence et de verrouiller l’espace civique en réprimant les voix critiques et en restreignant les libertés d’expression, de la presse, d’association, de réunion et de mouvement. Le président Abdelmadjid Tebboune a été réélu pour un second mandat en septembre dans un climat de répression et de musellement des médias, et en l’absence d’un véritable débat politique. Les autorités continuent de réprimer les voix critiques, notamment dans les médias, en poursuivant en justice des activistes, des journalistes et des avocats pour l’expression pacifique d’opinions.  Les autorités ont durci la législation pénale et continuent de se servir de lois répressives - notamment de leurs dispositions anti-terrorisme -  contre toute dissidence.  

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