République centrafricaine : Il faut que justice soit rendue pour le massacre de 2014
La Cour pénale spéciale représente une piste cruciale vers l’établissement des responsabilités
![The sign outside the Notre-Dame church after the killings in May 2014, Fatima neighborhood, Bangui, Central African Republic, June 24, 2014.](/sites/default/files/styles/square/public/media_2024/05/202405afr_car_Church_Massacre%20.jpg?h=0a2cf4a7&itok=Hp3KjsJv)
La Cour pénale spéciale représente une piste cruciale vers l’établissement des responsabilités
Ces poursuites portent atteinte à la liberté d'expression et au droit à la liberté personnelle
Cette attaque met en évidence à nouveau l’importance du traité interdisant ces armes
Le gouvernement devrait réformer la loi et les politiques de l’ère coloniale, afin de mieux protéger les droits au logement et aux moyens de subsistance
Les putschistes doivent faire l’objet de poursuites judiciaires équitables et une enquête doit être ouverte sur les exécutions sommaires présumées
Des avocats sont harcelés ou poursuivis par les autorités de l’État, qui exerce un contrôle total sur la profession juridique
Un nouveau chapitre s’ouvre pour la responsabilité des entreprises avec cette loi, dont l’application sera cruciale
Le président devrait plutôt défendre l’indépendance de la Cour pénale internationale, selon plus de 100 organisations de défense des droits humains
La possibilité que Gloria Sengha soit victime d’une disparition forcée suscite de graves inquiétudes
Des villageois sont contraints au déplacement au moyen de pressions extrêmes et d’informations mensongères
Les autorités ciblent des organisations de défense des droits des réfugiés et des migrants, des activistes et des journalistes
Ce refus d’entrée reflète l’intolérance à l’égard de tout examen du bilan du pays en matière de droits humains
L’ex-ministre de l’Intérieur de l’ère Jammeh, Ousmane Sonko a été reconnu coupable de crimes contre l’humanité
Le fils de l’ex-président a été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle plusieurs semaines après le meurtre d’un opposant
Le gouvernement devrait renoncer à cette loi et mettre fin aux violences policières