Liban : Attaques israéliennes contre des secouristes et structures de santé, des crimes de guerre apparents
Les alliés d’Israël devraient suspendre leurs ventes d’armes à ce pays
Les autorités libanaises ont plongé le pays dans l’une des pires crises économiques de son histoire récente, dans un contexte de corruption et d'incompétence. Près de 80 pour cent de la population libanaise vit sous le seuil de pauvreté, et le gouvernement a retardé à plusieurs reprises les réformes et les plans de protection sociale promis. Les hôpitaux ont du mal à fournir des soins vitaux dans un contexte de crise économique, et les coupures d'électricité durent jusqu'à 22 heures par jour. Personne n’a été tenu pour responsable de l’explosion catastrophique survenue dans le port de Beyrouth le 4 août 2020. Les forces de sécurité ont parfois eu recours à une force excessive et meurtrière contre les manifestants. Les femmes continuent d’être confrontées à une discrimination et à des violences systématiques.
Les alliés d’Israël devraient suspendre leurs ventes d’armes à ce pays
Les personnes retournant en Syrie y sont exposées au risque d’arrestation, de torture ou de décès en détention
Des munitions à explosion aérienne ont été utilisées illégalement dans des zones peuplées
Les règles de tutelle masculine entravent leur capacité à voyager et à se déplacer à l’intérieur de leurs pays
Appel à la création d’un mécanisme d’enquête international sur les violations du droit international humanitaire commises par Israël et les autres parties au conflit
Les institutions civiles affiliées au Hezbollah ne constituent pas des cibles militaires légitimes
Les attaques délibérées contre les missions de maintien de la paix des Nations Unies constituent des crimes de guerre
Les attaques causant des dommages disproportionnés aux civils sont pourtant interdites par le droit international
Le Brief du Jour du 30 septembre 2024
Les États membres de l’ONU devraient diligenter d’urgence une enquête internationale impartiale
Cette attaque qui a tué un journaliste libanais, et blessé d'autres journalistes, est susceptible d’avoir constitué un crime de guerre